Dans un contexte économique mondial déjà fragile, la Nouvelle-Zélande dévoile des chiffres alarmants concernant son Produit Intérieur Brut (PIB) pour le troisième trimestre. Avec une contraction de 1,0 %, dépassant les prévisions d’une baisse de seulement 0,4 %, le pays fait face à des défis économiques considérables. Cette situation interroge les analystes et met en lumière les vulnérabilités sous-jacentes de l’économie néo-zélandaise, alors que de multiples secteurs ressentent les effets d’un ralentissement marqué.
Récemment, la Nouvelle-Zélande a publié des données économiques alarmantes, révélant une contraction de son produit intérieur brut (PIB) de -1,0 % pour le troisième trimestre de l’année, par rapport à une prévision d’une baisse de -0,4 %. Cette situation soulève des défis importants pour l’économie néo-zélandaise, illustrant des faiblesses dans divers secteurs, tout en ouvrant des questions sur ses conséquences à long terme.
Avantages
Malgré cette contraction, certains éléments peuvent être perçus comme positifs dans la situation économique actuelle de la Nouvelle-Zélande. Tout d’abord, le secteur de l’agriculture a montré une résilience notable, avec une croissance spécifique dans les industries de produits laitiers. Cela pourrait rendre le pays moins dépendant d’autres secteurs plus fluctuant et favoriser une diversification économique.
Deuxièmement, les révisions des données du deuxième trimestre ont révélé des chiffres de croissance plus robustes que prévu pour l’année précédente, portant un message d’espoir et de potentiel pour l’avenir. De plus, cette contraction peut conduire à des ajustements dans la politique monétaire, ce qui pourrait favoriser l’innovation et encourager des investissements dans des secteurs porteurs.
Inconvénients
Les inconvénients de cette contraction sont néanmoins préoccupants. La baisse du PIB affecte directement le niveau de vie et peut exacerber les inégalités économiques. De plus, cette contraction s’inscrit dans une tendance inquiétante avec une décroissance qui s’étend sur plusieurs secteurs, entraînant une chute de l’activité dans 11 des 16 industries de la Nouvelle-Zélande, notamment dans la fabrication et les services aux entreprises.
Par ailleurs, la baisse continue du PIB par habitant, qui a chuté pour la huitième fois consécutive, représente un indicateur alarmant pour la durabilité économique à long terme. En raison de la conjoncture, la Réserve bancaire néo-zélandaise pourrait être poussée à adopter des politiques monétaires plus accommodantes, ce qui pourrait avoir des effets négatifs sur l’inflation et la stabilité financière générale.
Les derniers chiffres économiques de la Nouvelle-Zélande révèlent une contraction significative de son produit intérieur brut (PIB) au troisième trimestre de 2024, enregistrant une baisse de 1,0 %, largement supérieure aux attentes de -0,4 %. Cette situation met en lumière des défis économiques croissants au sein du pays, en particulier dans un contexte mondial incertain. Examinons de plus près les implications de ces résultats.
Analyse de la contraction du PIB
La contraction du PIB de la Nouvelle-Zélande s’accompagne d’une révision à la baisse des chiffres du deuxième trimestre, où la baisse initialement rapportée de 1,1 % a été confirmée. Ces révisions indiquent un affaiblissement persistant de l’économie de la région, à mesure que des secteurs clés, comme la fabrication et les services aux entreprises, montrent des signes évidents de fatigue.
Impacts sectoriels
Une analyse plus approfondie des données de croissance du PIB révèle que 11 des 16 secteurs ont enregistré des baisses durant cette période. Les secteurs les plus touchés incluent la fabrication, les services industriels, ainsi que la construction. Ces résultats sont préoccupants, car ces industries sont souvent des piliers de la croissance économique, indiquant que la Nouvelle-Zélande pourrait lutter pour sortir de ce cycle de déclin.
Consommation des ménages et implications économiques
La consommation des ménages a également pris un coup, avec une baisse de 0,3 % due à une restriction des dépenses sur des biens essentiels. Les ménages semblent se montrer prudents, ce qui alimente une spirale descendante avec une réduction de la consommation entraînant un ralentissement économique plus large. Cela pourrait forcer la Banque de réserve de Nouvelle-Zélande à envisager des réductions de taux d’intérêt pour stimuler la consommation et l’activité économique.
Le paysage économique futur
À mesure que la Nouvelle-Zélande fait face à sa contraction économique, il est essentiel de considérer les implications à long terme de ces résultats. La reprise pourrait être entravée par une structure économique en mutation, malgré les signaux positifs de croissance dans certains segments, comme l’agriculture. En effet, la croissance agricole, notamment dans l’élevage laitier, peut ne pas suffire à compenser les pertes subies ailleurs. Ces enjeux seront cruciaux à aborder lors de la prochaine réunion de politique monétaire de la banque centrale prévue pour le 19 février.
Pour contextualiser ces résultats, il est intéressant de considérer les tendances économiques globales et les impacts de la pandémie, ainsi que les répercussions sur des économies comparables dans le monde. Vous pouvez consulter des analyses détaillées sur les croissances des PIB en Europe et comprendre comment la Nouvelle-Zélande s’inscrit dans un tableau économique plus vaste.
En somme, les données indiquent des défis considérables pour la Nouvelle-Zélande, alors que le pays s’efforce de trouver un chemin vers la stabilité économique, même dans le contexte d’une performance extérieure décevante et d’une consommation intérieure en déclin.
La Nouvelle-Zélande vient de publier des données alarmantes concernant son Produit Intérieur Brut (PIB) pour le troisième trimestre 2024, révélant une contraction de 1,0 %. Ce chiffre, largement en deçà des attentes qui tablaient sur une baisse de seulement 0,4 %, soulève des préoccupations économiques majeures et reflète un affaiblissement de l’activité dans plusieurs secteurs stratégiques.
Les chiffres du PIB : un coup dur pour l’économie
La contraction du PIB de 1,0 % s’inscrit dans un contexte de baisse continue, puisque le trimestre précédent avait déjà enregistré une baisse révisée de 1,1 %. Cette tendance indique que l’économie néo-zélandaise fait face à des défis importants, avec une baisse significative du PIB par habitant de 1,2 %, marquant ainsi le huitième trimestre consécutif de déclin.
Une analyse sectorielle révélatrice
Il est essentiel de noter que cette contraction ne touche pas uniformément tous les secteurs. En effet, l’activité économique a diminué dans 11 des 16 industries, avec des baisses marquées dans des domaines comme la fabrication, les services aux entreprises et la construction. En revanche, certains secteurs, notamment l’agriculture, ont montré une résistance grâce à des performances solides, notamment dans l’élevage laitier.
Consommation des ménages et dépenses
Du côté des dépenses des ménages, une diminution de 0,3 % a été constatée, signalant une réduction des dépenses pour les biens essentiels tels que l’alimentation et l’électricité. Seul le segment des biens durables a connu une augmentation, illustrant une polarisation des comportements de consommation qui pourrait avoir des implications à long terme pour la reprise économique.
Perspectives économiques et implications
Les résultats récents soulignent les défis structurels auxquels est confrontée l’économie néo-zélandaise et pourraient influencer les décisions des responsables politiques, notamment celles de la Banque de la Nouvelle-Zélande, qui pourrait envisager des baisses de taux d’intérêt pour soutenir l’économie. Ce contexte incertain s’accompagne de spéculations sur l’orientation future des politiques économiques, alors que le pays continue de faire face à un paysage économique mondial complexe, renforcé par des tensions géopolitiques.
Des crises régionales, comme l’escalade du conflit à Gaza, ainsi que les récents chiffres de l’emploi aux États-Unis qui confirment un ralentissement du marché du travail, pourraient avoir des répercussions sur la dynamique des échanges et la confiance des investisseurs, aggravant ainsi la situation économique de la Nouvelle-Zélande.
Dans un contexte économique déjà fragile, la Nouvelle-Zélande a récemment connu une contraction de son Produit Intérieur Brut (PIB) au troisième trimestre de l’année, enregistrant une baisse de 1,0 %. Cette chute dépasse largement les prévisions qui anticipaient une contraction plus modérée de 0,4 %, soulignant des défis significatifs pour l’économie néo-zélandaise.
Analyse des tendances économiques
Cette contraction a des répercussions sur plusieurs secteurs de l’économie. Les données révèlent que 11 des 16 industries ont connu un déclin, notamment dans les secteurs de la fabrication, des services aux entreprises et de la construction. Ces informations sont cruciales pour les investisseurs et les décideurs, car elles mettent en avant les zones de faiblesse de l’économie.
Consommation des ménages en baisse
Un autre facteur inquiétant est la diminution des dépenses des ménages, qui ont chuté de 0,3 %. Ce déclin est surtout dû à une réduction des achats de biens essentiels, tels que les aliments et l’électricité. Cependant, la consommation de biens durables, comme les véhicules et l’équipement audio-visuel, a montré une certaine résilience.
Impacts sectoriels
Bien que des secteurs tels que la fabrication aient enregistré des baisses significatives, certaines industries primaires, telles que l’agriculture, ont vu une légère progression, notamment grâce à l’essor de l’élevage laitier. Cette dynamique sectorielle met en évidence la nécessité d’une diversification économique et d’un soutien accru pour les secteurs en difficulté.
Conséquences pour la politique monétaire
La contraction du PIB pourrait inciter la Banque de la Réserve de Nouvelle-Zélande à envisager de nouvelles baisse des taux d’intérêt pour stimuler la croissance. Les décisions à venir pourraient influer considérablement sur le marché des cryptomonnaies et des investissements en général, rendant l’observation des tendances monétaires essentielle pour les acteurs économiques.
Perspectives d’avenir
Cette contraction du PIB soulève des questions sur la soutenabilité économique à court et à moyen terme. Les experts effectueront un suivi minutieux des développements économiques, notamment en ce qui concerne la reprise potentielle et les stratégies nécessaires pour consolider l’économie néo-zélandaise.
Au troisième trimestre de 2024, la Nouvelle-Zélande a connu une contraction de son PIB de -1,0 %, une chute plus marquée que les prévisions qui tablaient sur un recul de -0,4 %. Cette situation économique soulève des questions sur la viabilité de la croissance dans le pays et met en lumière les défis auxquels il est confronté. Analysons les avantages et les inconvénients de cette situation.
Avantages
Malgré la contraction de l’économie néo-zélandaise, certains éléments positifs peuvent émerger. Tout d’abord, la révision des données pour le deuxième trimestre a montré une croissance plus robuste sur l’année, ce qui pourrait indiquer un potentiel de reprise à long terme. Les secteurs primaires, notamment l’agriculture, ont montré des signes de croissance, en grande partie grâce à des exportations de produits laitiers tels que le lait en poudre et le beurre.
De plus, la dynamique de croissance dans des domaines tels que l’immobilier et les services de location pourrait en partie compenser les sectorielles en déclin. Cette résilience dans certains segments de l’économie peut offrir des opportunités pour les investisseurs et les entrepreneurs. En effet, ces performances sectorielles pourraient renforcer la volonté d’adopter des stratégies économiques plus diversifiées.
Inconvénients
Néanmoins, les inconvénients de cette contraction sont indéniables. L’une des conséquences majeures est la baisse de la consommation des ménages, qui a chuté de 0,3 %, en raison d’une réduction des dépenses sur les essentiels tels que la nourriture et l’électricité. Ce ralentissement peut engendrer des difficultés pour les entreprises locales, particulièrement celles qui dépendent d’un volume de ventes soutenu.
De plus, la contraction touche 11 des 16 secteurs de l’économie, notamment le secteur manufacturier, qui connaît des baisses considérables. Ces défis sectoriels pourraient entraîner des pertes d’emplois, accentuant la pression sur le marché du travail. Si cette tendance se poursuit, la Banque de la Réserve de Nouvelle-Zélande pourrait envisager d’autres baisses de taux d’intérêt pour stimuler la croissance, ce qui pourrait entraîner une faible confiance des investisseurs dans la stabilité économique du pays.
La Nouvelle-Zélande enregistre une contraction de son PIB au troisième trimestre
Avec une contraction de -1,0 % au troisième trimestre de 2024, la Nouvelle-Zélande annonce des résultats économiques décevants, dépassant les prévisions qui anticipaient une baisse de seulement -0,4 %. Cette situation met en lumière les défis auxquels fait face l’économie néo-zélandaise dans un contexte mondial instable.
Analyse de la Contraction du PIB
Le premier constat concernant le PIB néo-zélandais est qu’il a subi une contraction significative par rapport au trimestre précédent, qui avait déjà affiché une baisse de -1,1 %. Ces chiffres indiquent une tendance inquiétante pour l’économie du pays, touchée par divers facteurs, y compris un environnement commercial difficile et des impacts potentiels de la consommation intérieure.
Impact Sectoriel
Le recul du PIB provient principalement des industries où l’activité a chuté dans 11 des 16 secteurs analysés. Les secteurs manufacturier, des services aux entreprises et de la construction ont été particulièrement touchés, enregistrant les baisses les plus importantes. Ce déclin est préoccupant, car la production de biens et les services sont essentiels à la croissance économique durable.
Consommation des Ménages
En parallèle, la consommation des ménages a également connu une baisse de -0,3 %. Les consommateurs néo-zélandais ont réduit leurs dépenses en biens essentiels tels que les aliments et l’électricité, ce qui a contribué à cette contraction. Toutefois, quelques secteurs comme les biens durables, incluant les véhicules et l’équipement audio-visuel, ont vu leurs ventes augmenter.
Conséquences Économiques
Cette contraction significative du PIB entraîne des implications considérables pour la politique monétaire du pays. La Banque de la Nouvelle-Zélande pourrait être poussée à envisager des réductions supplémentaires des taux d’intérêt pour stimuler la croissance et soutenir l’économie. Les discussions à ce sujet seront cruciales lors de la prochaine réunion prévue en février 2024.
Comparaison des Données Économiques de la Nouvelle-Zélande
Indicateur | Données |
PIB T3 2024 | -1,0 % |
PIB Attendu | -0,4 % |
Contraction Q2 2024 | -1,1 % |
Variation du PIB par habitant | -1,2 % |
Industries en Déclin | 11 sur 16 |
Principales Industries Affectées | Manufacture, services aux entreprises, construction |
Industries en Croissance | Agriculture, services immobiliers |
Mesure des Dépenses du PIB | -0,8 % |
Consommation des Ménages | -0,3 % |
Témoignages sur la contraction du PIB en Nouvelle-Zélande
La Nouvelle-Zélande traverse une période économique difficile, avec une contraction de son PIB de 1,0 % au troisième trimestre 2024. Ce chiffre est alarmant, surtout lorsqu’on le compare à la prévision qui tablait sur une baisse de seulement 0,4 %. Cette situation suscite des inquiétudes parmi les économistes et les citoyens.
Les experts s’accordent à dire que le secteur manufacturier a été durement touché, enregistrant des baisses significatives dans presque tous ses sous-secteurs. Un analyste économique a mentionné : « La diminution de l’activité dans cette industrie principale montre à quel point l’économie néo-zélandaise est vulnérable face aux fluctuations du marché mondial. »
Un autre témoignage provient d’un propriétaire d’entreprise locale, qui a déclaré : « Je n’ai jamais vu une période aussi difficile. La clientèle se fait rare, et les chiffres de vente sont en chute libre. Nous ressentons directement la contraction économique. »
Cependant, il y a des secteurs qui affichent des signes de résilience. Les industries d’agriculture, notamment l’élevage laitier, ont connu une croissance, ce qui a partiellement compensé les pertes ailleurs dans l’économie. Un agriculteur a commenté : « Heureusement, notre production laitière continue d’attirer les marchés étrangers. Cela nous permet de garder la tête hors de l’eau. »
Les consommateurs ressentent également les effets de cette contraction. La baisse des dépenses des ménages, notamment dans les domaines essentiels comme l’alimentation et l’électricité, souligne les préoccupations financières croissantes. Un habitant a partagé son expérience : « Nous devons vraiment faire attention à nos dépenses. Chaque centime compte et nos choix deviennent de plus en plus limités. »
En résumé, la contraction du PIB néo-zélandais est une réalité préoccupante qui affecte divers aspects de la vie économique et sociale. Bien que certains secteurs gèrent à naviguer à travers cette tempête, l’inquiétude demeure palpable parmi ceux qui vivent les conséquences de cette crise.
Résumé des Contractions Économiques
La Nouvelle-Zélande a récemment reporté une contraction de son produit intérieur brut (PIB) de -1,0 % pour le troisième trimestre, une performance bien en dessous des attentes, qui anticipaient une baisse de seulement -0,4 %. Ce déclin témoigne de défis économiques considérables, affectant particulièrement les secteurs clés tels que la fabrication, les services professionnels et la construction. Bien que l’agriculture, notamment l’élevage laitier, ait montré des signes de résilience, les tendances générales sont préoccupantes pour la santé économique du pays.
Analyse Sectorielle
Les résultats du PIB pour la Nouvelle-Zélande révèlent une contraction significative dans 11 des 16 secteurs analysés. La manufacture, par exemple, a été l’un des secteurs les plus touchés, avec des baisses presque uniformes dans tous les sous-secteurs. Les services professionnels et la construction ont également subi des reculs notables, soulignant la fragilité de la performance économique.
Évaluation des Industries
La baisse de l’activité dans le secteur de la fabrication indique une diminution de la production et peut entraîner des pertes d’emplois considérables. Parallèlement, bien que certaines industries, comme les services immobiliers et de location, aient enregistré des gains, ces augmentations ne suffisent pas à compenser les pertes enregistrées ailleurs. Cela montre la nécessité d’une diversification des secteurs économiques pour stabiliser la croissance.
Consommation des Ménages et Dépenses
Le comportement des consommateurs a également été impacté, avec une déflation de 0,3 % des dépenses des ménages au troisième trimestre. Cette tendance est largement due à une réduction des dépenses sur des produits de première nécessité, tels que les produits alimentaires et l’électricité. Dans un monde post-pandémique, il est crucial de surveiller la manière dont les consommateurs priorisent leurs dépenses, car cela peut influencer la direction des politiques économiques futures.
Le Lieu de l’Agriculture
En dépit des défis économiques globaux, les secteurs primaires, en particulier l’agriculture, ont continué à croître, soutenus principalement par l’élevage laitier. Les exportations de produits laitiers tels que le lait en poudre, le beurre et le fromage jouent un rôle essentiel dans l’économie néo-zélandaise. Cette résilience dans l’agriculture pourrait offrir une lueur d’espoir pour l’économie nationale si d’autres secteurs parviennent à se stabiliser.
Implications pour les Politiques Économiques
Face à ces défis, il est impératif pour le gouvernement néo-zélandais d’envisager des ajustements dans ses politiques économiques. Une attention particulière aux secteurs les plus touchés pourrait aider à revitaliser l’économie. Des mesures telles que l’amélioration de l’accès au financement pour les entreprises touchées, l’encouragement de la diversification économique et l’investissement dans l’innovation peuvent jouer un rôle essentiel dans la reprise économique.
Prévisions pour l’Avenir
Avec les prévisions d’une politique monétaire assouplie attendue de la Réserve de Nouvelle-Zélande, il sera crucial de surveiller l’évolution du marché du travail et la confiance des consommateurs. Si ces deux facteurs peuvent s’améliorer, ils pourraient soutenir une reprise économique nécessaire. Cependant, les tendances actuelles exposent un marché qui doit naviguer dans un environnement économique mondial incertain et compétitif.
Une contraction économique préoccupante pour la Nouvelle-Zélande
La Nouvelle-Zélande traverse actuellement une période économique difficile, avec une contraction de son PIB de -1,0 % enregistrée au troisième trimestre, une baisse alarmante par rapport aux prévisions de -0,4 %. Cette situation vient s’ajouter à la baisse de -1,1 % du trimestre précédent, indiquant un signe de faiblesse persistante qui mérite une attention particulière.
Cette contraction touche de manière disproportionnée le secteur manufacturier, qui a connu une diminution significative. Les services aux entreprises ainsi que le secteur de la construction ont également subi de gros revers, entraînant une contraction dans 11 des 16 industries du pays. Ainsi, tandis que certaines industries primaires, notamment l’agriculture, notamment l’élevage laitier, affichent une légère croissance, le tableau global reste préoccupant.
En parallèle, la consommation des ménages a diminué de 0,3 %, principalement en raison de la réduction des dépenses sur les biens essentiels tels que l’alimentation et l’électricité. Ce ralentissement de la consommation reflète une inquiétude croissante parmi les consommateurs, qui semblent de plus en plus hésitants face à l’incertitude économique ambiante.
Ces données risquent de maintenir la Réserve de Nouvelle-Zélande sous pression pour envisager des ajustements de politique monétaire, notamment des baisses de taux d’intérêt à l’avenir. L’impact est d’autant plus préoccupant à l’approche de leur prochaine réunion de politique monétaire. La situation actuelle ajoute à des défis déjà présents en matière de relance et de développement durable, soulignant la nécessité d’adaptations stratégiques pour stimuler la reprise économique.
FAQ sur la contraction du PIB en Nouvelle-Zélande
Quelle a été la contraction du PIB en Nouvelle-Zélande pour le troisième trimestre ? La contraction du PIB a été de -1,0 %, ce qui est supérieur à l’attente qui était de -0,4 %.
Comment se compare cette contraction à celle du deuxième trimestre ? Le PIB avait déjà enregistré une contraction de -1,1 % au deuxième trimestre, ce qui indique une tendance continue de déclin.
Quelles industries ont été les plus touchées par cette contraction ? La contraction a principalement affecté le secteur manufacturier, les services aux entreprises et la construction.
Y a-t-il eu des secteurs qui ont connu des augmentations malgré la contraction globale ? Oui, les industries primaires, en particulier l’agriculture menée par l’élevage laitier, ainsi que les services de location et de recrutement, ont montré des gains.
Comment la consommation des ménages a-t-elle été affectée ? La consommation des ménages a diminué de 0,3 %, en particulier à cause d’une réduction des dépenses sur les biens essentiels comme les épiceries et l’électricité.
Quelles prévisions peut-on faire concernant les politiques économiques en Nouvelle-Zélande ? Cette contraction indique que la Banque de Nouvelle-Zélande pourrait envisager d’autres coupes de taux d’intérêt dans un avenir proche pour soutenir l’économie.
Glossaire : Contraction du PIB en Nouvelle-Zélande
La Nouvelle-Zélande a récemment annoncé une contraction de son PIB de -1,0 % au troisième trimestre, une baisse plus importante que les -0,4 % attendus par les économistes. Ce phénomène soulève de nombreuses questions sur l’état de l’économie néo-zélandaise et sur les facteurs qui peuvent en être à l’origine.
Le terme PIB (Produit Intérieur Brut) désigne la valeur totale de tous les biens et services produits dans un pays sur une période donnée. Il est souvent utilisé comme un indicateur clé pour évaluer la santé économique d’un pays. Une contraction du PIB indique que l’économie est en déclin, ce qui peut engendrer diverses conséquences, notamment sur l’emploi et la consommation.
La contraction du PIB observée en Nouvelle-Zélande est significative. Un recul de cette ampleur pose des questions sur la croissance économique et son impact sur les ménages, les entreprises et les politiques économiques. En effet, lorsque le PIB recule, cela peut mener à une baisse de la consommation, car les ménages peuvent choisir de réduire leurs dépenses en raison de préoccupations économiques.
Les principaux secteurs de l’économie néo-zélandaise sont touchés de diverses manières par cette contraction. Le secteur manufacturier par exemple, a connu des difficultés, avec de nombreux sous-secteurs rapportant des baisses de production. Ce déclin sectoriel peut être attribué à divers facteurs, y compris les perturbations de la chaîne d’approvisionnement, la post-pandémie, et des coûts d’exploitation croissants.
Un autre aspect à considérer est l’impact sur les industries de services. Avec une contraction du PIB, les entreprises de ce secteur font face à des perspectives de croissance limitées, ce qui peut entraîner un ralentissement général des investissements et du développement économique.
Malgré cette contraction, certains segments de l’économie peuvent encore afficher des signes de résilience. Par exemple, le secteur agricole, en particulier l’dairy farming, continue de montrer des performances positives, grâce à la demande internationale pour des produits laitiers. Un tel paradoxe souligne la complexité de l’économie néo-zélandaise, où certains secteurs peuvent prospérer malgré un environnement économique défavorable.
La banque centrale de Nouvelle-Zélande se trouve également à un carrefour crucial. La contraction du PIB maintient la pression sur l’institution pour envisager des ajustements de taux d’intérêt afin de soutenir l’économie. Cela pourrait se traduire par une poursuite de politiques monétaires accommodantes, affectant par conséquent la valeur de la monnaie néo-zélandaise sur les marchés mondiaux.
Enfin, les prévisions économiques à court terme seront scrutées avec attention, notamment en raison des tensions géopolitiques et des incertitudes sur les marchés internationaux. La Nouvelle-Zélande, tout en faisant face à ses propres défis, doit également naviguer dans un paysage économique globablement impacté par des événements tels que la pandémie et les conflits mondiaux.